En réponse à
« Nique le patriaRAPcat »
(publié le 21 mai par K. Pils)
Rien d’un scoop : le sexisme et l’homophobie sont partout. Et le rap est très loin d’y échapper, ce que nous rappellent à longueur de journée des médias ravis de défourailler contre les banlieues. Alors plutôt que de ressasser des punchlines sexistes de rappeurs, on voudrait donner la parole à celles et ceux qui proposent un autre son de cloche.
C’est posé comme une évidence : ouais, le rap est une musique à part. C’est comme ça. C’est violent. C’est provoc’. Donc c’est sexiste.
Par exemple, le 1er mars (...)