En réponse à
« Chez Pupa »
(publié le 10 février 2019 par Cabiria)
Dans ce bistrot, il y a de la faune et de la tendresse, aucun folklore mais bien une femme d’un certain âge qui tient son bar entourée de taxis, de veilleurs, de prostituées et de médecins de garde...
***
La première fois que j’y suis entrée chez Pupa [officiellement La Nouvelle gare], un peu par hasard, c’était durant l’hiver 2014, ça sentait déjà la fin d’une épopée.
La dame a aujourd’hui 77 ans, on l’appelle Pupa parce qu’elle ressemblait à une poupée étant petite. Cheveux courts, clope au bec, sabots (...)