Pour commencer je tiens à féliciter les auteurs pour la lucidité dont fait preuve encore une fois leur analyse de la situation du pays.
Ensuite je m’étonne que ML (Moi Lèche-cul, Maurice Lemoine, Me Lèchefion ?) et autres crypto-stalinistes-maoistes-castristes n’attaquent pas les auteurs de cet article comme étant des reptiliens qui en veulent aux ressources de notre planète avec l’aide des iluminatis.
Je suis d’accord avec votre pote colombien : seuls des militaires locaux peuvent nous sortir de ce cauchemar qui nous blessent tous, les vénézuéliens, au plus profond de notre être. Le régime le sait.
Pour cette raison plus de 20000 espions cubains surveillent les forces armées nationales. Et pour cette raison le régime a livré en pature nos ressources naturelles aux généraux (desquels il se dit qu’ils sont au nombre de 1500 ici).
Nous sommes clairs ici que les pires raclures, en plus des politicars, sont les forces armées (armées et polices). Quelques individus au sein des ces institutions sont sûrement des exception, comme Oscar Pérez et ses potes. Ce qui confirme la règle.
Voilà pourquoi des millions fuient. Il ne reste aucun avenir ici pour nos enfants tant que le régime ne changera pas. Et ça ne sera pas demain la veille malheureusement...
Méfiez-vous des beaux parleurs vous aussi là-bas ! Tierz des leçons de nos erreurs ! Ce Mélenchon a une telle soif de pouvoir qu’il est prêt à dire (et à faire) tout et n’importe quoi pour arriver à ses fins.
Je conseille à tout le monde de lire ce chef d’oeuvre de Georges Orwell qu’est « La ferme des animaux ». Parce que nous sommes des bêtes presque en tous points, les bêtes étant plus nobles que nous. Il suffit d’en élever pour s’en rendre compte, pour retrouver notre humilité, notre humanité, pour nous sentir partie intégrante du cycle de l’humus.
Nous voulions l’égalité. Nous l’avons ici maintenant : nous sommes tous pauvres, pour ne pas dire misérables. À part les connectés au régime qui eux sont passés du bas de la classe moyenne à extrêment riches. (Voyez la famille de Chávez par exemple !)
La vie est un combat... jusqu’à la mort !
PS : L’équipe e CQFD vous m’avez profondément déçu quand vous avez censuré quelques ins de mes commentaires au sujet d’articles concernant mon pays. Il a fallu la malheureuse exécution somaire d’Oscar Pérez et du petit groupe de jeunes qui étaient à ses côtés à ce moment-là pour vous ouvrir les yeux. *Ce chien de garde bougeois español vendu en pétro-dolars n’a jamais répondu aux commentaires de son torchon « Vénézuéla irréversible » que vous dont vous avez taché votre digne journal.)
Salut !
Pour commencer je tiens à féliciter les auteurs pour la lucidité dont fait preuve encore une fois leur analyse de la situation du pays.
Ensuite je m’étonne que ML (Moi Lèche-cul, Maurice Lemoine, Me Lèchefion ?) et autres crypto-stalinistes-maoistes-castristes n’attaquent pas les auteurs de cet article comme étant des reptiliens qui en veulent aux ressources de notre planète avec l’aide des iluminatis.
Je suis d’accord avec votre pote colombien : seuls des militaires locaux peuvent nous sortir de ce cauchemar qui nous blessent tous, les vénézuéliens, au plus profond de notre être. Le régime le sait.
Pour cette raison plus de 20000 espions cubains surveillent les forces armées nationales. Et pour cette raison le régime a livré en pature nos ressources naturelles aux généraux (desquels il se dit qu’ils sont au nombre de 1500 ici).
Nous sommes clairs ici que les pires raclures, en plus des politicars, sont les forces armées (armées et polices). Quelques individus au sein des ces institutions sont sûrement des exception, comme Oscar Pérez et ses potes. Ce qui confirme la règle.
Voilà pourquoi des millions fuient. Il ne reste aucun avenir ici pour nos enfants tant que le régime ne changera pas. Et ça ne sera pas demain la veille malheureusement...
Méfiez-vous des beaux parleurs vous aussi là-bas ! Tierz des leçons de nos erreurs ! Ce Mélenchon a une telle soif de pouvoir qu’il est prêt à dire (et à faire) tout et n’importe quoi pour arriver à ses fins.
Je conseille à tout le monde de lire ce chef d’oeuvre de Georges Orwell qu’est « La ferme des animaux ». Parce que nous sommes des bêtes presque en tous points, les bêtes étant plus nobles que nous. Il suffit d’en élever pour s’en rendre compte, pour retrouver notre humilité, notre humanité, pour nous sentir partie intégrante du cycle de l’humus.
Nous voulions l’égalité. Nous l’avons ici maintenant : nous sommes tous pauvres, pour ne pas dire misérables. À part les connectés au régime qui eux sont passés du bas de la classe moyenne à extrêment riches. (Voyez la famille de Chávez par exemple !)
La vie est un combat... jusqu’à la mort !
PS : L’équipe e CQFD vous m’avez profondément déçu quand vous avez censuré quelques ins de mes commentaires au sujet d’articles concernant mon pays. Il a fallu la malheureuse exécution somaire d’Oscar Pérez et du petit groupe de jeunes qui étaient à ses côtés à ce moment-là pour vous ouvrir les yeux. *Ce chien de garde bougeois español vendu en pétro-dolars n’a jamais répondu aux commentaires de son torchon « Vénézuéla irréversible » que vous dont vous avez taché votre digne journal.)
Cordialement.
Un loup, celui du loup et du chien de Lafontaine.