En réponse à
« Terra y zabitad »
(publié le 17 février 2018 par Nicolas de La Casinière)
Cabanes, fermes réoccupées, caravanes, yourtes : sur la Zad, l’essentiel n’est pas la forme, mais le sens politique commun.
« Habiter ici, ce n’est pas juste y manger, y dormir et y avoir ses chiottes, c’est être en relation forte avec cet endroit-là », disait déjà en 2013 une occupante fabriqueuse de cabanes. Cueillir des champignons autant que s’ancrer dans la lutte d’ici et ailleurs – No Tav, Bure, Chiapas, Rojava, soutien aux migrants. Rien de la défense étriquée d’un bout de bocage.
« La Zad est un (...)