Votre “article” passe sous silence l’existence ancienne et enracinée des minicabs, qui désservent principalement, mais pas seulement, les quartiers décentralisés, et la province. Personne ne prend un black cab en banlieue, sauf les personnes agées quand leur autorité locale subventionne les courses.
On trouve des bureaux de minicab à la sortie des gares et stations de metro. On peut aussi les appeler, avec ou sans application de n’importe où, voire les commander à l’avance, le prix de la course est fixé d’avance. Ils vont à l’aéroport, 60 km ou à deux kilomètres quand on le souhaite. Ils coexistent avec les black cabs, je n’ai pas entendu parler de problèmes entre eux, mais cela existe peut-être.
Donc, les britanniques n’ont pas attendu Uber pour "libéraliser" le marché.
Votre “article” passe sous silence l’existence ancienne et enracinée des minicabs, qui désservent principalement, mais pas seulement, les quartiers décentralisés, et la province. Personne ne prend un black cab en banlieue, sauf les personnes agées quand leur autorité locale subventionne les courses.
On trouve des bureaux de minicab à la sortie des gares et stations de metro. On peut aussi les appeler, avec ou sans application de n’importe où, voire les commander à l’avance, le prix de la course est fixé d’avance. Ils vont à l’aéroport, 60 km ou à deux kilomètres quand on le souhaite. Ils coexistent avec les black cabs, je n’ai pas entendu parler de problèmes entre eux, mais cela existe peut-être.
Donc, les britanniques n’ont pas attendu Uber pour "libéraliser" le marché.