Alors parce que la France serait une « belle abstraction généralisatoire » on ne pourrait plus en parler ni réfléchir dessus ? Tout comme d’autres belles abstractions, elle a pourtant des conséquences bien concrètes et/ou bien douloureuse... Par exemple : le Capitalisme, la Police, l’Eglise, l’Education Nationale, l’Etat, la Guerre... Autant d’abstractions, autant de sujet de critiques et de réflexions. Quand l’article parle de la France, on sait très bien de quoi il parle.
Après, vous foncez tête baissée dans la tarte à la crème « école d’église vs école d’état » avec l’exemple de votre grand-père... Certes, l’école nationale gratuite obligatoire laïque a en parti remplacée l’école religieuse, payante et élitiste. Cool ! Mais devait-elle être obligatoirement uniformisante, autoritaire, colonialiste... ? N’oublions pas que l’École Nationale de Jules Ferry (et de ce début de 3e République) devait avant tout être au service d’un État et d’une économie... de guerre ! Sa première mission était de former les travailleurs-soldats qui devaient prendre « notre » revanche contre l’Allemand et « nous » préserver du Communard. Cela passait, dans la tête de ces Grands Hommes d’État, par la destruction des langues locales, des cultures minoritaires (toutes soupçonnables de séparatisme et donc d’alliance avec l’Ennemi)... Et d’être des freins à la Modernité, à la Morale, à la France !
Défendez autant que vous voudrez cette « idée » de l’école, de la langue, de la nation, Monsieur. Mais soupçonner cet article de prendre la défense d’une France d’Ancien Régime, catho-chouanne, c’est faire preuve d’une bien médiocre honnêteté intellectuelle. Pute Vierge !
Bon sang ! Mais quelle paresse de la pensée !
Alors parce que la France serait une « belle abstraction généralisatoire » on ne pourrait plus en parler ni réfléchir dessus ? Tout comme d’autres belles abstractions, elle a pourtant des conséquences bien concrètes et/ou bien douloureuse... Par exemple : le Capitalisme, la Police, l’Eglise, l’Education Nationale, l’Etat, la Guerre... Autant d’abstractions, autant de sujet de critiques et de réflexions. Quand l’article parle de la France, on sait très bien de quoi il parle.
Après, vous foncez tête baissée dans la tarte à la crème « école d’église vs école d’état » avec l’exemple de votre grand-père... Certes, l’école nationale gratuite obligatoire laïque a en parti remplacée l’école religieuse, payante et élitiste. Cool ! Mais devait-elle être obligatoirement uniformisante, autoritaire, colonialiste... ? N’oublions pas que l’École Nationale de Jules Ferry (et de ce début de 3e République) devait avant tout être au service d’un État et d’une économie... de guerre ! Sa première mission était de former les travailleurs-soldats qui devaient prendre « notre » revanche contre l’Allemand et « nous » préserver du Communard. Cela passait, dans la tête de ces Grands Hommes d’État, par la destruction des langues locales, des cultures minoritaires (toutes soupçonnables de séparatisme et donc d’alliance avec l’Ennemi)... Et d’être des freins à la Modernité, à la Morale, à la France !
Défendez autant que vous voudrez cette « idée » de l’école, de la langue, de la nation, Monsieur. Mais soupçonner cet article de prendre la défense d’une France d’Ancien Régime, catho-chouanne, c’est faire preuve d’une bien médiocre honnêteté intellectuelle. Pute Vierge !