En réponse à
« Ex-Fralib : vers une libre fraternité ? »
(publié le 18 septembre 2015 par Bruno Le Dantec)
« Toute cette expérience, c’est une émancipation. »
Jetés à la rue par Unilever, les Fralib ont repris l’outil de travail. En mai 2014, après quatre ans d’occupation et de démêlés judiciaires, ils ont fondé la Scop-Ti et une nouvelle gamme de thés et tisanes, baptisée « 1336 » en mémoire de leurs 1336 jours de combat opiniâtre. Cap sur l’avenir !
Comment passe-t-on d’ouvrier-Kleenex à coopérateur ? Par dignité, affirme Rim, comptable en devenir. Grâce à une conscience sociale, soutient Olivier, ex-délégué (...)