En réponse à
« L’accaparement des terres est un nouveau visage du colonialisme »
(publié le 25 août 2015 par Mickael Correia)
Le journaliste italien Stefano Liberti a enquêté plus de deux ans sur l’accaparement des terres agricoles dans les pays du Sud. De l’Éthiopie à la Bourse de Chicago en passant par l’Arabie Saoudite, il a rencontré des investisseurs, des paysans et des fonctionnaires, tous acteurs ou victimes d’une ruée mondialisée vers les terres arables. Il revient ici sur son travail qui a donné lieu à un livre, Main basse sur la terre. Land grabbing et nouveau colonialisme, sorti en 2013 aux éditions Rue de (...)