En réponse à
« Le paradoxe d’Öcalan »
(publié le 7 juillet 2015 par Mathieu Léonard)
« [La] lutte douloureuse de notre mouvement depuis quarante ans n’a pas été vaine, mais notre combat se trouve actuellement à un stade où il ne peut se poursuivre sur la même voie. L’histoire, ainsi que nos peuples, exigent la paix et une solution démocratique qui corresponde à l’esprit de notre temps », écrivait, le 21 mars dernier, « Apo » Öcalan depuis son île-prison. Tout en assumant un héritage de luttes, le guide du PKK semble désormais vouloir tourner la page de plus de trente années de violences, (...)