Quand un auteur de CQFD écrit un livre ou participe à une création théâtrale, il arrive sans doute qu’il bénéficie, par le biais de son éditeur ou du théâtre, de subventions. Pour autant, il ne va pas estimer que l’Etat est rentré dans sa tête, dans son livre ou son spectacle, ni refuser de mener à bien son projet - parce qu’on fait mieux « sans l’Etat ». Si ?
Les artistes qui défendent l’« exception culturelle », et qui crient au loup ou à la Corée du Nord quand ils entendent le mot « protectionnisme », vous ne pensez pas qu’ils ne pensent qu’à leur gueule et se contrefoutent du prolo agonisant ?
Quand un auteur de CQFD écrit un livre ou participe à une création théâtrale, il arrive sans doute qu’il bénéficie, par le biais de son éditeur ou du théâtre, de subventions. Pour autant, il ne va pas estimer que l’Etat est rentré dans sa tête, dans son livre ou son spectacle, ni refuser de mener à bien son projet - parce qu’on fait mieux « sans l’Etat ». Si ?
Les artistes qui défendent l’« exception culturelle », et qui crient au loup ou à la Corée du Nord quand ils entendent le mot « protectionnisme », vous ne pensez pas qu’ils ne pensent qu’à leur gueule et se contrefoutent du prolo agonisant ?