Pour déconsidérer ainsi Jean-Claude Michéa (à écouter attentivement ci-dessus), il faut vraiment avoir un cerveau de Robin. Mais c’est comme en cuisine, jamais les pois chiches ne récupèrent le jus du couscous, car ceux-là sont trop secs et celui-ci bien épicé. De même, les petits et grands salopards qui cherchent à absorber la radicalité de Michéa pour aller la dégurgiter à Radio Courtoisie ou chez Soral, vont bientôt souffrir d’insoutenables crampes d’estomac , que seule une euthanasie administrée avec soin pourra terminer.
« Tout le jour, je me remplissais de mûres, de raiponces, de salsifis des prés, de pois verts, de graines de pavots, d’épis de maïs grillés, de baies de toutes sortes, prunelles, blessons, alises, merises, églantines, lambrusques, fruits sauvages ; je me gorgeais d’une masse de crudités à faire crever un petit bourgeois élevé gentiment et qui ne produisaient d’autre effet sur mon estomac que de me donner le soir un formidable appétit. La nature ne fait mal à ceux qui lui appartiennent... » (Proudhon par lui-même)
https://www.youtube.com/watch?v=5r-...
Pour déconsidérer ainsi Jean-Claude Michéa (à écouter attentivement ci-dessus), il faut vraiment avoir un cerveau de Robin. Mais c’est comme en cuisine, jamais les pois chiches ne récupèrent le jus du couscous, car ceux-là sont trop secs et celui-ci bien épicé. De même, les petits et grands salopards qui cherchent à absorber la radicalité de Michéa pour aller la dégurgiter à Radio Courtoisie ou chez Soral, vont bientôt souffrir d’insoutenables crampes d’estomac , que seule une euthanasie administrée avec soin pourra terminer.
« Tout le jour, je me remplissais de mûres, de raiponces, de salsifis des prés, de pois verts, de graines de pavots, d’épis de maïs grillés, de baies de toutes sortes, prunelles, blessons, alises, merises, églantines, lambrusques, fruits sauvages ; je me gorgeais d’une masse de crudités à faire crever un petit bourgeois élevé gentiment et qui ne produisaient d’autre effet sur mon estomac que de me donner le soir un formidable appétit. La nature ne fait mal à ceux qui lui appartiennent... » (Proudhon par lui-même)
La pensée, c’est pareil.