En réponse à
« Entretien avec Jacques Tardi et Dominique Grange »
(publié le 13 février 2015 par Mathieu Léonard,
Morvan Verron,
Nicolas Norrito)
La pluie tombe dru sur la verrière de chez Tardi et Dominique Grange, dans le 20e arrondissement en ce jour de décembre. A peine arrivés dans la grande salle qui sert de bureau au dessinateur, on s’intéresse à un fusil Lebel de la guerre de 14-18, posé négligemment contre une poutre. Illico, Tardi défouraille d’autres flingots démilitarisés, dont un revolver de la guerre de 1870 : « Ils avaient les mêmes sous la Commune de Paris. » « Ça, c’est la documentation, cela me paraît indispensable. » Et le (...)