Le problème est que beaucoup de lecteurs français, en quête d’un produit « radical », se dirigent vers la Fabrique, qui est une marque, en matière de radicalités de campus. La Fabrique s’est taillé une place sur le marché de la radicalité, depuis des années, et très peu de ses publications ont été réellement critiquées ( je prends ici pour exemple « Féminismes Islamiques » ou la réédition de textes de Mao, avec la participation de Zizêk, etc.). Il s’exerce une véritable censure concernant la ligne éditoriale de la Fabrique mais peut-être cela est-il en train de changer puisque même CQFD prend le risque de publier une critique de la « Commune de Shanghaï ».
Le problème est que beaucoup de lecteurs français, en quête d’un produit « radical », se dirigent vers la Fabrique, qui est une marque, en matière de radicalités de campus. La Fabrique s’est taillé une place sur le marché de la radicalité, depuis des années, et très peu de ses publications ont été réellement critiquées ( je prends ici pour exemple « Féminismes Islamiques » ou la réédition de textes de Mao, avec la participation de Zizêk, etc.). Il s’exerce une véritable censure concernant la ligne éditoriale de la Fabrique mais peut-être cela est-il en train de changer puisque même CQFD prend le risque de publier une critique de la « Commune de Shanghaï ».