En réponse à
« PPP : Le stade terminal du partenariat profit-profit »
(publié le 13 septembre 2014 par Nicolas de La Casinière)
Main basse sur le foot pour des stades qui coûtent les yeux de la tête. Des équipements publics captés par des jeux d’actionnaires.
En juin, le stade du Mans n’a accueilli qu’un seul match, de foot féminin. En mai, une chasse aux œufs de Pâques pour 200 gamins, devant les tribunes vides. Conçu pour la ligue 1, livré en 2011 mais privé d’équipe pro deux ans après, le stade cherche à limiter la casse après la faillite du club, finalement rétrogradé en division d’honneur amateur, l’équivalent de la 6e (...)