Il n’est pas difficile de prendre une position critique sur les faits au Venezuela, ils sont simples : pour la énième fois l’opposition perd les élections et tente de prendre le pouvoir en provocant beaucoup de dégâts, de la violence (surtout dans les villes où le maire est d’opposition, comme San Cristóbal ou l’est de Caracas), et en invoquant l’aide des puissances étrangères pour qu’ils viennent les libérer.
Et les entreprises privées de propagande de leur emboîter le pas, rêvant d’être « embedded » dans une nouvelle opération militaire d’envergure où la civilisation occidentale montre tout son savoir faire démocratique.
Et puisqu’on ne peut pas être ou se prétendre un intellectuel français et se permettre d’être « chaviste », alors on parle de « la propagande des factions » et de « manifestations », et on interroge des « observateurs ».
Il n’est pas difficile de prendre une position critique sur les faits au Venezuela, ils sont simples : pour la énième fois l’opposition perd les élections et tente de prendre le pouvoir en provocant beaucoup de dégâts, de la violence (surtout dans les villes où le maire est d’opposition, comme San Cristóbal ou l’est de Caracas), et en invoquant l’aide des puissances étrangères pour qu’ils viennent les libérer.
Et les entreprises privées de propagande de leur emboîter le pas, rêvant d’être « embedded » dans une nouvelle opération militaire d’envergure où la civilisation occidentale montre tout son savoir faire démocratique.
Et puisqu’on ne peut pas être ou se prétendre un intellectuel français et se permettre d’être « chaviste », alors on parle de « la propagande des factions » et de « manifestations », et on interroge des « observateurs ».