Avec sa petite phrase à la con au moment de dégainer son revolver (comme dans les western spaghetti ou les films de la blacxploitation, toute cette sous-culture parodique), George Jackson est pop. Il trafique, il maquereaute, il tue et surtout : c’est un chef de gang, un chef de bande. Un chef, quoi. C’est pas très excitant, normalement, un chef, quand on a passé l’adolescence et qu’on tient en veilleuse son cerveau reptilien. Jean Genet, on sait pourquoi les chefs le fascinaient, il a bien décrit ça dans son Journal du Voleur. Mais moi, c’est simple, dès que je vois le nom d’Angela Davis quelque part, je sais que ça va partir en sucette, en overdose et en partouze, demandez à Huey Newton (paix à son âme). Elle a trop glandouillé sur les campus, trop travaillé son look et surtout trop tenu la chandelle à Marcuse, ce cochon de la CIA qui a perverti par avance tous les mouvements contestataires des années 70.
Avec sa petite phrase à la con au moment de dégainer son revolver (comme dans les western spaghetti ou les films de la blacxploitation, toute cette sous-culture parodique), George Jackson est pop. Il trafique, il maquereaute, il tue et surtout : c’est un chef de gang, un chef de bande. Un chef, quoi. C’est pas très excitant, normalement, un chef, quand on a passé l’adolescence et qu’on tient en veilleuse son cerveau reptilien. Jean Genet, on sait pourquoi les chefs le fascinaient, il a bien décrit ça dans son Journal du Voleur. Mais moi, c’est simple, dès que je vois le nom d’Angela Davis quelque part, je sais que ça va partir en sucette, en overdose et en partouze, demandez à Huey Newton (paix à son âme). Elle a trop glandouillé sur les campus, trop travaillé son look et surtout trop tenu la chandelle à Marcuse, ce cochon de la CIA qui a perverti par avance tous les mouvements contestataires des années 70.