En réponse à
« Des légumes dans leur gazon »
(publié le 31 décembre 2013 par Nardo)
C’est un caillou dans la godasse de l’université de Grenoble. Quand la galerie des amphis s’est vidée en 2006, à la fin du mouvement anti-CPE, il n’en est resté qu’un potager collectif, autogéré, installé sur les pelouses du « domaine public de l’état ». Sept années plus tard, les Jardins d’utopie sont toujours là, mémoire bien vivante des luttes étudiantes.
Quand l’avocate a lu le procès verbal, « elle s’est bien marrée », se souvient un jardinier. Les flics y décrivent comme ils peuvent les Jardins d’utopie : (...)