Quand c’est fini, on recommence… Un dossier de 24 pages, dont douze de reportage dans l’Espagne en mouvements. Je ne sais pas vous, mais par ici, on commence à y prendre goût. À tel point que l’on va se risquer à continuer. À prévoir, donc, pour la rentrée 2016, une nouvelle pagination – encore à définir – de notre cher canard. Parce que plus de pages, plus de reportages, ça donne une belle effervescence : de joyeux retours, des tonnerres d’applaudissements, mais aussi quelques critiques et une page Facebook hackée. Et toute cette agitation, ça nous donne grave la niaque. Alors on a refait une page FaceB(ouh !). On salue les personnes ayant pris le temps de nous faire des retours sur le supplément Syrie, qu’ils soient positifs ou négatifs. La critique ? On prend ! On prend, même celle nous traitant de « trouducs de nazis impérialistes » – bien qu’un chouïa exagérée. On prend le complément bibliographique des Éditions Antisociales soulignant l’absence, dans notre dossier, « du court testament politique d’Omar Aziz », Sous le feu des snipers, la révolution de la vie quotidienne – Programme des comités locaux de coordination de Syrie, disponible en téléchargement sur leur site.
On prend également, le tag sur notre local : sans doute en réponse au « Sur les murs » du n° 135 où nous reproduisions un graffiti – dont nous ne sommes pas les auteurs – « Protégez un pissenlit, mangez les vegans ! », des anonymes ont contre-attaqué par un « Sauvez du PQ, torchez-vous avec CQFD ! » (signé Animal Liberation). De bonne guerre ? Toutefois, pour avoir essayé alors que, dans la dèche, nous n’avions plus de papier toilette, c’est une pratique que nous ne conseillons qu’en dernier recours.